Aux oubliettes le logiciel de gestion du temps? Le programme a connu ses heures de gloire, et beaucoup aujourd’hui la trouve archaïque, et lui préfère des systèmes utilisés à des fins plus ou moins avouables.
Les nouvelles fonctionnalités d’un logiciel de gestion de temps
Face aux changements qui se sont opérés depuis l’apparition des premiers logiciels de gestion de temps et aujourd’hui, ceux-ci ont évolué. Loin de se contenter d’enregistrer les dates d’entrée et de sortie de chacun, elles peuvent désormais réaliser des opérations améliorant le post-traitement des informations par les équipes RH.
On connaissait déjà le système permettant de créer des fiches de paie avec un logiciel gestion du temps. Désormais, il existe un logiciel permettant de faire le lien entre salariés et direction. Ainsi, les employés attendent désormais beaucoup plus du logiciel installé sur leur lieu de travail. Les nouvelles venues sont donc dorénavant capables de rapporter les réclamations internes, et de permettre à chacun de faire le point sur sa situation.
On retrouve donc les fonctionnalités suivantes sur ces nouveaux programmes:
- Planification du travail
- Fiche de paie
- Possibilité de suivre ses notes de frais
- Réservations de salle de réunion ou de matériel
- Possibilité de faire remonter des réclamations
- Fonction “boite à idées”
Vers de nouvelles évolutions?
Loin d’être un outil de contrôle simple, le programme a évolué vers un logiciel de consultation, voir même, vers un outil de liaison entre les différents services et pôles de l’entreprise. Désormais, de nombreux employés se disent prêts à voir venir d’autres fonctionnalités. Ainsi, un certain nombre d’entre eux se disent ouverts à l’arrivée de cette technologie dans les nouveaux logiciels de gestion de temps. La biométrie est en effet l’un des axes vers lesquels se dirigent de plus en plus les entreprises. Néanmoins, la procuration de ce type de logiciel reste assez onéreuse, et demande de nombreuses démarches, puisque la CNIL encadre fortement ce type de gestionnaire de temps, pour des raisons évidentes de protection de la vie privée. Plus que l’utilisation de données trop personnelles, ce sont également les récents scandales liés à l’usurpation d’identité qui rendent l’objet difficile à contrôler. Qu’il s’agisse d’empreintes digitales ou de reconnaissance d’iris ou de visage, ces données se doivent d’être hautement protégées.
Du programme servant à protéger les données confidentielles de l’entreprise, à l’entreprise devant protéger les données confidentielles du programme, le système a donc connu une forte évolution en quelques années. Et il est certain que de nombreuses nouvelles évolutions viendront encore se greffer à celles-ci.